« Je suis un enfant typique du foyer », avoue ouvertement Morow dans le « Backline Blog » de la Baloise Session. Le rappeur bâlois en pleine ascension n'a pas seulement pris d'assaut la scène musicale suisse, il utilise également sa plateforme pour parler de santé mentale. Dans une interview exclusive, il parle de sa jeunesse mouvementée, de son évolution musicale et de son engagement pour les jeunes.
Le chemin de Morow vers la musique a été tout sauf rectiligne. « Ma scolarité a été une période très turbulente », se souvient-il. Mais ce sont justement ces défis qui l'ont façonné en tant qu'artiste et en tant qu'homme. Ses textes, au début plus des entrées de journal intime que des paroles, se sont développés en morceaux de rap puissants qui touchent des milliers de personnes. Particulièrement fascinant : le point de vue de Morow sur le courage et la vulnérabilité. « Pour moi, je ne me sens pas courageux de faire ça. Mais je retourne pour ainsi dire ma surface d'attaque vers l'extérieur, et ainsi personne ne peut plus me faire de mal », explique-t-il sa manière ouverte de parler de thèmes personnels.
C'est ce qu'il a fait lors de l'atelier scolaire de la Baloise Session, en inspirant des élèves du Kirschgarten Gymnasium à raconter leurs propres histoires et à les transcrire en vers hip-hop.
Vous êtes curieux ? Alors découvre maintenant l'univers de Morow !
- Son inspiration musicale inattendue (indice : c'est lié à ABBA !)
- Comment il a découvert le hip-hop comme exutoire pour ses émotions.
- Son point de vue honnête sur le feedback et la gestion du succès.
Ne manque pas cet entretien approfondi avec l'une des voix les plus authentiques de la scène rap suisse. Dans le « Backline Blog » de la Baloise Session, Morow révèle comment il allie musique et santé mentale !